C’est avec affection que les directrices du Congrès 2018 appellent leurs coordinateurs de pôles, les « cocos ». C’est donc avec affection et humour que les cocos se sont prêtés au jeu du portrait. Envies, motivation, idées : ils vous dévoilent leur personnalité en quelques lignes.
Paul, le coco douane de la fête
Nous avons rencontré Paul de Salve de Bruneton, coordinateur du pôle finance, coco* douane pour les intimes. C’est avec ses grands yeux bleus et cette détermination farouche qu’il nous a confié son ambition pour le Congrès 2018.
Quel est le rôle de ton pôle dans le Congrès 2018 ?
Le pôle administration et finances s’apparente à une voiture qui se doit d’être huilée et alimentée en essence pour bien fonctionner et pour ne pas impacter les autres pôles. Concrètement, je m’occupe de mettre un cadre financier autour de la mécanique du projet, de prévoir et de suivre sa consommation. Je m’occupe aussi, côté administratif, de faire le lien entre les rouages, les différents pôles, pour que tout le monde puisse entrer dans la voiture. Pour cette mission, je m’appuie sur d’autres douaniers qui gèrent eux aussi leurs finances. Je dois m’assurer qu’ils ne manquent de rien pour qu’ils puissent mener leurs tâches à bien.
Qu’est-ce qui t’a donné envie de t’investir pour le Congrès 2018 ?
J’ai vécu le Congrès 2014 à Lusignan et j’ai été douanier à RoverWay 2016. J’avais beaucoup aimé mettre en place des systèmes, les voir évoluer, les tester, les changer… Pour le Congrès, je me suis dit que c’était pour moi l’occasion d’être le Coco douane de la fête et de participer à la construction de cette grande mécanique. Par ailleurs, mon métier d’architecte naval m’a entraîné à travailler en équipe : en tant que coco douane, je dois savoir communiquer avec les autres membres du groupe, expliquer la répartition d’essence selon les objectifs poursuivis par le projet. En soit, concevoir des bateaux m’a appris à être sérieux et carré dans ce que je fais, qualité que je crois essentielle pour être douanier.
*coordinateur