La chanson des grands marcheurs de Reims-Châtelot

Première chanson :

Un jour une troupe marcha . a.a.a
C’était pas des bébés. b.b.b
Et pour commencer. c.c.c
On a tous gambadé. a.b.c.d
On s’est mis à chanter. é.é.é
On s’est perdu OSEF. f.f.f
On voulait tous manger. g.g.g
En compagnie des vaches. e.f.g.h
On est tous repartis. i.i.i
Pour trouver notre logis. j.j.j
Avec Véronika. k.k.k
On chantait de plus belle. i.j.k.l
C’était pas de la crème. m.m.m
Il fallait rester zen. n.n.n
En plus il faisait chaud. o.o.o
On était moins OP. m.n.o.p
Soyez tous convaincus. q.q.q
Que le chemin calcaire. r.r.r
Nous a trempé les fesses. s.s.s
Quand on a pris le goûter. q.r.s.t
On a fait toutes les rues. u.u.u
Et on s’est bien gavé. v.v.v
Le reste de l’alphabet…
A vous de trouver !

Seconde chanson: Les retrouvailles

Lucie était loin de pécho
Et aujourd’hui elle est mariée
A Besain tout près de l’étang,
Elle a dit oui à Germain en souriant.
Ref: Les grands marcheurs, ils n’ont pas peur,
les kilomètres rien ne les arrête.
Les grands marcheurs sont les meilleurs,
si ça faiblit on les pousse et c’est reparti.
Tosca a attrapé l’bouquet,
et dans un an elle est mariée.
Avec Rayyan, qu’elle bonne idée,
et nous on espère qu’on sera invité !
Refrain
Pendant que les resp étaient en bas,
en haut on en a profité.
Nous on a pas voulu r’garder,
mais en cachette on les a vu s’embrasser.
Samedi matin en s’réveillant,
on a tous fait les feignants .
Nicolas a pété un plomb,
quand il a entendu cette chanson:
“Sur ma route oui il y a eu du mouv’ oui…”
Hélène est v’nu à la mairie,
là où on dormait pour la nuit.
Nous on partait pour Poligny
les pieds en feu sans faire de chichis.
Refrain
Arrivé au sentier Karstique,
on a trouvé ça magnique.
Et même si c’était pas pratique,
suivre CROCRO c’était quand même magique.
On a du quitter le sentier
et on était d’jà fatigué.
Les petits denins ont disparu,
et nous on s’est presque senti perdu.
Après avoir bien marché,
on a été récompensé.
On s’est pas mal cultivé,
et on a même dégusté du comté.
Germain s’écrie “Oh un fleuriste”
et il s’arrête pour la surprise .
A sa Lucie il offre une rose,
pour une surprise fallait quand même qu’il ose.
On s’est arrêté pour acheter,
de quoi se nourrir et s’régaler.
Après avoir tout partagé,
on est r’partis sans gravir la montée !
On fois qu’on était arrivé,
on était tous très crevé.
Mais franchement y’a pas de regret.
Rien a dire on s’est tous éclaté !
Refrain