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“J’ai découvert la richesse de pouvoir partager les valeurs qui me sont chères”, Valérie

Dans chaque numéro de Ti.Ta.Ti retrouvez la rubrique “Fonction Bénévole”: la présentation d’une des fonctions bénévoles du Mouvement.
“Aujourd’hui une superhéroïne”, Valérie R, Conseillère du Groupe Locale de Poissy.

Valérie-R

Les multiples pouvoirs du/de la conseiller.ère de groupe local (CGL)

Le/la conseiller.ère de groupe local (CGL) c’est un peu le superhéros aux multiples pouvoirs de l’échelon  local : administratif, finances, communication, médiation… Anciens membres actifs ou parents  fraîchement débarqués dans l’univers unioniste, les profils sont divers !

« J’ai eu la chance de faire  partie du mouvement enfant puis comme responsable. J’ai vu l’évolution de l’association, ses interrogations, ses difficultés et ses transformations. Quand mes enfants y sont entrés, il m’a semblé évident d’y “replonger”, comme parent délégué ; puis les responsables m’ont écrit pour me demander  d’être CGL. »

Vecteur  de la communication interne du Mouvement

Les CGL favorisent la communication entre les membres du groupe, avec les parents, vers les partenaires et les financeurs. Ils sont aussi là pour mener des actions de recrutement, accompagner les responsables, être à leur écoute, leur donner des conseils. N’oublions pas qu’ils sont aussi gestionnaires financiers et administratifs, managers, et qu’ils savent bien souvent décharger les camions !

« J’ai découvert la richesse de ce poste, les possibilités de faire encore partie du mouvement, de pouvoir partager avec des jeunes et moins jeunes les valeurs qui me sont chères. Cela m’a permis aussi de partager des moments et des souvenirs complices. »

Comme tous les superhéros, le CGL se dote d’une équipe pour parvenir à mettre en œuvre toutes ces tâches, avec pour seul objectif de soutenir les responsables dans leurs missions et surtout de les alléger. Ces membres s’appellent des cadres locaux, et le CGL doit manager son équipe, répartir les missions et permettre à chacun de trouver sa place dans l’équipe locale. « Parfois, on se sent seul et moins motivé face aux différentes tâches que l’on s’est donné. C’est pourquoi s’efforcer de créer un réseau de parents est fortement conseillé. » Afin d’accompagner et de former les CGL et cadres locaux dans leurs missions, la formation “1,2,3 cadres” est proposée chaque année.

Alors superhéros, parents, militants… qu’importe l’image ! Les CGL représentent un appui considérable pour les responsables et cette mission, riche dans sa diversité,  permet de développer de nombreuses compétences dans différents domaines.

« Ces missions  m’ont permis d’affirmer ma réflexion sur mes choix de vie, de mieux comprendre les aspirations et les craintes des générations montantes. Dans une société critique à l’égard d’une  jeunesse dite en perte de valeurs, je peux m’élever en contre et témoigner avec sincérité d’adultes en devenir bien plus réfléchis dans le rôle de pédagogue et de citoyen que certaines générations  précédentes. »

 

‘ACTU’, «Ti.Ta.Ti» (Le magazine des responsables des Éclaireuses et Éclaireurs Unionistes) n°2, octobre 2015, p.4