Une nouvelle idée clé : accueillir les sentiments de l’enfant.
Devant un enfant en détresse, on cherche souvent à le consoler. On minimise son chagrin, on trouve des excuses, on propose nos solutions… Et si vous preniez le parti, simplement, d’écouter ce que l’enfant a sur le cœur ? Après tout, c’est lui qui sait si ce qu’il vient de vivre est grave pour lui, s’il est triste, ou furieux…
Accueillir les sentiments de l’enfant, c’est le considérer comme une personne autonome, l’aider à se rassurer sur le fait que ce qu’il ressent est normal. C’est aussi, par ricochet, favoriser son estime de soi.
Cette réflexion fait-elle écho avec le vécu d’un de vos camps ? Partagez vos expériences avec nous en envoyant un mail à la CoPaix.
Rendez-vous prochainement pour une nouvelle habileté ! La Commission Éducation à la Paix remercie chaleureusement Valérie Michel pour la réalisation de ce dessin.