L’histoire du chantier

C’est donc en 2013, que la région Paris s’inquiète de voir l’absence de commissions fortes pour animer le projet en place de l’association. Les premières questions se tournent sur le recrutement, sa mise en place, ses échecs, la demande est faite que le conseil d’administration informe les régions de la gouvernance de l’association.

En 2014, c’est au tour de deux autres régions, Aquitaine et Rhône-Alpes Auvergne, de pointer du doigt une organisation qui semble trop centralisée dans ses prises de décisions et demandent plus d’ouverture dans les différentes instances. Chacune des régions est consciente de l’engagement de tous les acteurs et toutes les actrices à l’échelon national, mais ont besoin de plus d’accessibilité et de lien dans ce travail-là.

En 2015, ressort la notion déjà sous-entendue avant de la démocratie participative à travers des interpellations des régions Franche-Comté Bourgogne Pays de Montbéliard, Yvelines et Phare-Ouest. Les sujets de recrutement et de centralisation des décisions sont à nouveau évoqués.

En 2016, c’est au tour de la région Provence et RAA de questionner les prises de décisions en régions et à l’assemblée générale pour clarifier le mode de vote, leurs objectifs et leurs impacts.

Et bien d’autres retours ont invité le conseil d’administration à repenser sa structuration et sa gouvernance dès 2013. 

D’une même volonté les différentes régions et instances de l’association ont permis au conseil d’administration de faire des constats sur notre organisation actuelle.